Hello les Cotonettes!!! Cela fait un moment n’est ce pas? La vie, la vie… j’espère…
Read More →Gérer une rupture : comment faire face à ses déboires sentimentaux comme Bridget Jones
Hello les Cotonettes !
On a souvent parlé de mariage, de célibat sur le Club des Cotonettes et depuis quelques années le guide de survie d’une célibataire à Douala me trotte dans la tête (promis je vous livrerai mes astuces bientôt). Mais nous avons très peu voire pas du tout parlé de rupture. En discutant avec des amies lors de mon brunch d’anniversaire je me suis rendue compte que peu importe comment cela se passe, que l’on soit celle qui dit le fatal « c’est fini » ou que ce soit lui (ou elle), nous devons quand même surmonter ce qui à l’instant T semble insurmontable. Qui de vous ne s’est jamais dit : « j’ai trop de peine, je ne peux pas m’en remettre » ? Il n’y a pas de remède miracle pour gérer une rupture, seulement quelques astuces pour aller mieux, j’en ai recensé quelques unes.
1. S’occuper l’esprit pour ne plus penser à la rupture
Vous l’avez déjà vécu ? Ce moment où si votre esprit n’est pas occupé il dérive vers le seul sujet auquel vous ne voulez pas penser. C’est généralement ce qui se passe après une rupture. On se questionne, sur ce qui n’a pas marché, on se demande ce qu’on n’a pas bien fait, C de Leen m’a dit un jour que ça ne changerait rien de continuer à le faire. Et c’est vrai ! Personne n’a jamais réussi à remonter le temps en dehors de Sam Beckett dans Code Quantum donc ce questionnement est non seulement inutile mais en plus douloureux. Mon conseil, tout faire pour empêcher votre esprit de se livrer à cet exercice.
Le travail est souvent une belle échappatoire croyez-moi, mais ce qui est beaucoup plus sympa ce sont les soirées entre filles : chercher sa tenue, boire des cocktails, se faire aborder, les soirées entre filles sont idéales pour s’occuper l’esprit (en n’oubliant pas le Girls Code). Mieux que les soirées entre filles ? Les weekends entre filles : organiser un voyage est très prenant, mais surtout il faut tout préparer et c’est parfait pour se concentrer sur autre chose que la rupture.
2. Bridget Jones ou comment surmonter une rupture comme une héroïne de cinéma
Les romans Bridget Jones sont inspirés de ceux de Jane Austen, notamment le premier qui est une libre interprétation de Orgueil et Préjugés. J’avoue n’avoir lu aucune de ces célèbres oeuvres mais j’ai vu les adaptations de Briget Jones au cinéma. Et je vous certifie que les déboires amoureux de cette pas si jeune londonienne et surtout comment elle s’en sort lorsqu’elle est au plus bas, ça vaut le détour. Si vous n’avez pas vu Le Journal de Bridget Jones, je vous recommande cette excellente comédie romantique, surtout si vous venez de rompre. Pourquoi ? Parce qu’après une rupture on ne sait pas forcément quoi faire. Nous les femmes, nous ne le vivons pas toujours bien, même quand c’est nous qui avons rompu.
Non seulement les comédies romantiques sont recommandées pour passer ce mauvais moment, mais en plus, dans Bridget Jones, il y a tellement d’exemples de ce qui peut s’avérer utile quand on a le cœur brisé : entre la dégustation de glace vêtue d’un pyjama, l’écoute de la playlist des plus célèbres chansons d’amour ou encore la séance de pleurs avec la boîte de mouchoirs et le réconfort de sa meilleure amie. Oui c’est cliché, mais quand on vient de rompre on a le droit de se faire son propre cinéma, de se répéter des répliques de films et de se convaincre que nous aussi on est une Katherine Heigl dans 27 robes ou une Jennifer Aniston dans La rupture et que tout finira par aller mieux. Pour celles qui comme moi s’identifient aux personnages féminins africains ou afro-américains, mes séries préférées dont je vous parlais dans cet article sont pleines de scènes où le personnage féminin doit faire face à une rupture et ça fait vraiment beaucoup de bien de les voir s’en remettre.
3. L’effet pansement : compenser avec une romance
C de Leen déteste cette habitude que j’ai de compenser. Je soigne mes ruptures avec des pansements. Pas des sparadraps mais des romances, sans attache, juste comme un pansement, j’évite de l’enlever tant que je peux (on sait tous que le problème des pansements c’est quand il faut les enlever 🙂 ). J’avoue que ce n’est pas très juste pour la personne qui sert de pansement mais eh une rupture ce n’est pas juste ! On nous avait dit « ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants » pas ils s’engueulèrent et eurent beaucoup de rancœur donc va pour un pansement. Les pansements ou les tampons selon le terme que vous préférez sont des relations qui permettent de soigner une rupture. Il faut profiter des avantages et fuir les inconvénients pour justement ne pas avoir mal au moment d’enlever le pansement. Si ce n’est pas clair, je vous prends l’exemple de la relation de Bridget Jones avec le personnage de Jack Qwant dans Bridget Jones attend un bébé : c’est un pansement. D’ailleurs cela devait être une relation d’une nuit.
Je ne suis pas en train de vous conseiller d’avoir des relations d’une nuit, loin de moi cette idée mais profiter du fait que vous plaisez, qu’après avoir regardé toutes ces séries et ces films, vous vous serez dit comme ces héroïnes que vous êtes belle, intelligente, que ça ne s’est pas fait mais que le meilleur reste à venir. Soyez « disponible » c’est un terme que j’ai entendu dans un vlog de l’actrice Abimbola Craig qui joue Tiwa dans Skinny Girl In Transit. Elle y parlait du fait qu’elle est disponible pas forcément entreprenante mais qu’elle est ouverte à une discussion, une invitation à dîner, qu’elle se laisse aborder et séduire.
4. Un de perdu et une de retrouvée : surmonter la rupture en se recentrant sur soi
Je me suis rendue compte que la vie et peut-être particulièrement mes ruptures m’ont rendue égoïste. Pas assez à mon goût d’ailleurs, mais j’apprenais récemment que je suis de nature « gentille » donc bon j’ai peut-être du travail à faire dessus. Là où je veux en venir, c’est qu’après une rupture, il faut je pense se recentrer : penser plus à soi qu’aux autres, se concentrer sur ce qui nous rend heureux, sur ce qui nous fera oublier ou au moins passer à autre chose. Une rupture c’est un peu comme une chute de vélo : il faut vérifier qu’on n’est pas blessé, si on l’est, on se soigne et on remonte sur sa bicyclette parce qu’une chute, ce n’est qu’une chute et qu’on est forte.
Je me rends compte que j’ai naturellement donné des conseils aux femmes, peut-être parce que ces messieurs semblent vivre les ruptures mieux que nous. Je tâcherai de me renseigner pour savoir si ils ont des astuces de leur côté et je les partagerai avec vous.
S. - Rédactrice Lifestyle
Après avoir vadrouillé dans les rues parisiennes je suis de retour en Afrique. Ce qui fait de moi une "Repat" (personne ayant vécu à l'étranger et de retour dans son pays d'origine) ! C'est maintenant à Douala, Lagos et toutes les villes d'Afrique que je vous emmène en balade. Curieuse et un brin aventurière, la nailista que je suis partagera avec vous toutes ses découvertes : les gourmandes, les virtuelles et celles de la "vraie vie".
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