2 leçons de vie apprises lors de mes voyages

Hello par ici, j’espère que vous allez bien.

Le week-end dernier, nous avons pris nos baluchons et nous sommes parties de Paris pour couper un peu du quotidien (surtout de la routine du RER) et se retrouver entre amies (cela faisaient longtemps que nous n’avions pas passé un week-end ensemble).
Destination? Le lac de Côme pour notre plus grand plaisir autant pour les yeux, le palais ou le mental.
Ce voyage a été des plus reposant et au passage, j’ai appris, ou plutôt, j’ai pris conscience de deux leçons que j’ai apprises durant mes voyages.

La flexibilité est une force

Lorsque l’on voyage, en général, on a un plan et on sait d’avance ce que l’on va faire pendant le séjour. On fait ses devoirs en se renseignant sur la météo/le climat, les sites historiques, la gastronomie, les activités à faire etc.
Tout ceci est très bien mais voyager c’est sortir de sa zone de confort et ses habitudes. Il faut donc s’attendre à ce que les choses ne se passent pas comme prévues.

Au lac de Côme, nous avons été confrontées à plusieurs imprévus: les autochtones qui ne parlent pas anglais (ou très peu), les horaires de ferry indiquées qui ne sont pas respectées, la rareté des taxis dans une ville importante comme Côme… je vous passe les aventures vécues.
Que faire alors ? Essayer de garder son calme, respirer et décider que ces contre-temps ne gâcheront pas le séjour (bon si vous avez faim, j’avoue que ce que je dis n’aura pas beaucoup de poids dans votre humeur). Il s’agit de trouver des solutions alternatives.

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Dans cette vie, nous ne sommes au contrôle de rien (ou de pas grand chose), c »est bien la raison pour laquelle nous prenons des assurances à tour de bras dès que nous pouvons. On ne peut pas toujours avoir des plans C, D, Z. En revanche, il est important d’être assez vif d’esprit pour rapidement faire le point de la situation, évaluer les éventuelles solutions, en choisir une et l’assumer.

La pause n’est pas une option

J’arrive à m’émerveiller d’un rien dans la ville: une belle façade, des fleurs sur un balcon, un coucher de soleil qui se reflète sur un building.
Quand je voyage, j’essaie de garder la même vision des choses, notamment quand je vais hors des villes: quand on se retrouve en face de la nature dans toute sa splendeur, sa puissance et son immensité, on se rend compte que l’être humain n’est pas que peu de choses.

J’ai ressenti cela en contemplant le Kilimandjaro au Kenya, en essuyant une tempête à Malte ou en vivant simplement le calme que m’inspirent les collines autour du lac de Côme. Ces manifestations de la nature me poussent très souvent à recentrer mes pensées sur l’essentiel, faire une pause pour sortir du quotidien, m’élever mentalement pour regarder la grande image de la vie que j’ai choisie de vivre : Qui suis-je en train de devenir ? Qu’est-ce qui est vraiment important dans ma vie ?
Pendant cette pause, je compte mes bénédictions et mes réussites: malgré les épreuves, j’ai réussi à gravir tant de montagnes et de collines et j’en suis fière.

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Parce que rien n’est acquis et demain n’est pas garanti, levons la tête de nos écrans/du guidon du quotidien et prenons le temps de profiter du bruit de la mer, de la brise du soir et du sourire de nos proches pour vivre une vie qui a du sens…

Besos!

L.

Lydvina - Rédactrice Lifestyle

Avec plus de 8 ans de blogging dans le compteur, je constate que la petite bourse n'empêche pas le bel art de vivre à la française ! C'est ce que je vous démontre en partageant mon carnet de sorties culturelles, les bonnes adresses restaurants, les expositions à voir ou les livres à dévorer sur les terrasses de café.